La Direction du projet interministériel de contrôle automatisé avait aussitôt démenti l’information puisqu’elle garde une copie des PV envoyés. L’automobiliste n’a donc pas été très difficile à retrouver. Selon nos confrères de France 3 Franche-Comté, il a été placé en en garde à vue ce vendredi et a avoué avoir truqué la procès verbal avec son matériel informatique. Une plaisanterie qui lui vaudra une comparution devant la justice au mois de juin pour falsification et contrefaçon de marques et de sceaux de l\'état. Il risque jusqu’à 5 ans de prison et 75 000 euros d\'amende
De 78 à 324 km/h : il falsifie son procès verbal
Publié le 08/02/2008 - 16:04
Mis à jour le 08/02/2008 - 16:04
En voulant « plaisanter », le conducteur se retrouve en garde à vue