Malgré la maladie, il avait tenu son poste de consultant sur France 2 lors des éditions 2009 et 2010 du Tour de France.
Dans son ouvrage intitulé «Nous étions jeunes et insouciants», Laurent Fignon avait également reconnu la prise d'amphétamines et de cortisone durant sa carrière de coureur, mais n'avait pas établi un lien direct avec la maladie.