Cette décision est donc incompréhensible, injustifiée et scandaleuse. Pour moi, cette commission d’appel est une république bananière qui justifie ses propres erreurs et sa propre légèreté par des réactions d’autoritarisme dignes d’un régime d’un autre monde.
Je n’avais pas souhaité, jusqu’à présent, porter le débat sur ce terrain-là, mais les professionnels de la DNCG devront répondre des diligences qu’ils avaient mises en œuvre concernant les clubs de Valence et de Sète et qui avaient à l’époque empêché Besançon de se maintenir ou d’accéder en National.
Il est clair aujourd’hui que le sportif ne m’intéresse plus et que je pose le débat sur un autre terrain.
Cette décision montre à l’évidence également que les clubs français, y compris amateurs, ne sont pas à égalité avec leurs homologues européens ».