"La prescription de produits de substitution a permis de réduire les comportements délinquants liés à la consommation de drogue (vols, agressions). Malheureusement, en raison de la souplesse dont bénéficie sa prescription, le Subutex a fait l'objet de trafic important qui coûte cher à la sécurité sociale", indique le rapport.
Depuis avril dernier, la prise en charge du Subutex et de la méthadone est soumise à conditions (inscription sur l'ordonnance du nom du pharmacien...).