Jack Varlet dévoile Besançon autrement
Jusqu’à la fin du mois de septembre, le franc-comtois Jack Varlet expose un original travail photographique en lien avec la nouvelle de Marcus Malte Pose ta besace à Besac’. Besançon y dévoile un tout autre visage.
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Au départ, il y eut une invitation lancée par
l’association Croq’livre à l’auteur adulte et jeunesse Marcus
Malte. Lors d’une résidence à Besançon, celui-ci a rencontré des jeunes
des quartiers périphériques de la cité et les a interrogés sur ce
qu’ils appréciaient ou non dans leur ville. S’imprégnant de leurs
témoignages, il a couché sur le papier une nouvelle, ouvrage de fiction
intitulé Pose ta besace à Besac’ et présenté aux Mots Doubs.
L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais Croq’livre a eu l’idée de demander au photographe Jack Varlet un travail en lien avec cette nouvelle. “Ce qui m’a plu dans ce texte, c’est qu’il traitait de quartiers de la ville que l’on ne voit jamais en photo ou en carte postale, explique-t-il. Pour moi, cela a été un moyen de rendre hommage aux gens qui y habitent. C’est pourquoi j’ai opté pour de grands formats et une extrême qualité photographique. Mais à côté de ces photos un peu statiques, j’ai choisi de faire des petits formats, des sortes de “carnets de croquis” pour rendre compte de la vivacité de ces quartiers, de ces étincelles de vie que l’on retrouve dans le texte”.
Présenté jusqu’au 30 septembre dans le hall du Conseil général du Doubs, 7 avenue de la Gare d’Eau, cet ensemble de 36 clichés révèle un Besançon inhabituel où les monuments phares laissent la place à des détails d’architecture et jeux de lumières immortalisés à Planoise, à La Grette, en bas de Bregille ou encore à la Rhodia.
L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais Croq’livre a eu l’idée de demander au photographe Jack Varlet un travail en lien avec cette nouvelle. “Ce qui m’a plu dans ce texte, c’est qu’il traitait de quartiers de la ville que l’on ne voit jamais en photo ou en carte postale, explique-t-il. Pour moi, cela a été un moyen de rendre hommage aux gens qui y habitent. C’est pourquoi j’ai opté pour de grands formats et une extrême qualité photographique. Mais à côté de ces photos un peu statiques, j’ai choisi de faire des petits formats, des sortes de “carnets de croquis” pour rendre compte de la vivacité de ces quartiers, de ces étincelles de vie que l’on retrouve dans le texte”.
Présenté jusqu’au 30 septembre dans le hall du Conseil général du Doubs, 7 avenue de la Gare d’Eau, cet ensemble de 36 clichés révèle un Besançon inhabituel où les monuments phares laissent la place à des détails d’architecture et jeux de lumières immortalisés à Planoise, à La Grette, en bas de Bregille ou encore à la Rhodia.