Publié le 09/03/2016 - 17:54
Mis à jour le 16/04/2019 - 08:37
Un homme s’est rendu à la gendarmerie ce mardi 8 mars 2016, plus d’un mois après la rixe mortelle qui avait eu lieu à Saint-Vit le 6 février 2016. Actuellement en garde à vue, il serait l’un des deux hommes suspectés par les gendarmes.
Le jeune homme de 28 ans avait perdu la vie samedi 6 février 2016 à 5h30 sur un parking au centre de Saint-Vit après une bagarre qui a mal tourné. La rixe avait éclaté à la sortie du XO Café, un bar situé le long de la route principale. La victime avait été retrouvée sur un parking à quelques mètres de l'établissement. Le jeune homme avait reçu plusieurs cops de couteaux. En arrêt cardio-respiratoire, les pompiers avaient tenté en vain de le réanimer.
Une centaine de personnes a défilé dans les rues de Saint-Vit ce dimanche 10 avril 2016 pour rendre hommage à Yannick Ribard, tué à la sortie d’un bar le 6 février dernier alors qu’il tentait de venir en aide à une jeune femme qui se faisait agresser. Un geste qui lui a coûté la vie.
Un jeune homme de 28 ans est décédé ce samedi 6 février 2016 vers 5h30 du matin sur un parking au centre de Saint-Vit après une bagarre qui a mal tourné.
Du 8 au 12 avril 2024, une opération "Place Nette" de grande ampleur s’est déroulée dans le département du Doubs. Réalisée en étroite coordination avec les procureurs de Besançon et de Montbéliard, cette action "coup de poing" s’inscrit dans le cadre des actions de lutte contre la délinquance liée aux trafics de stupéfiants, à l’économie souterraine et au proxénétisme voulues par le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et le Garde des Sceaux. L'heure est au bilan...
L'ADN analysé dans le Doubs après un signalement en mars ne correspond pas à celui de Xavier Dupont de Ligonnès, recherché pour un quintuple homicide en 2011, a indiqué lundi 15 avril 2024 le parquet de Nantes.
+ Droit de réponse de Thomas Lutz • Jeudi 11 avril 2024, un membre du groupe Rassemblement national au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, aurait employé une expression empruntée au vocabulaire nazi lors de l’Assemblée plénière qui se tenait à Dijon, est-il dénoncé dans un communiqué de presse de la Région.
