Dans un communiqué Michel Raison explique qu'il constate que la clientèle n'a pas déserté cette ligne au profit du TGV Rhin-Rhône, mise en service le 11 décembre 2011 (ndlr : -12% entre Paris et Belfort de 2011 à 2012). "Au contraire, l'étude commerciale obtenue de haute lutte confirme tout l'intérêt de maintenir une solution de transport alternative au tout TGV pour les hauts saônois, mais aussi pour les habitants de l'Aire urbaine. C'est aussi la reconnaissance du bien-fondé de mon combat pour le maintien du service entre Vesoul et Belfort, que la SNCF voulait stopper et qui aurait grandement pénalisé les secteurs de Lure, Melisey et Champagney".
Comme le député Alain Chrétien, Michel Raison appelle à définir une offre plus étoffée et desservant correctement le territoire, "sans que l'emporte une vision purement comptable et financière acceptée aujourd'hui par ceux qui la dénonçaient hier".
Une nouvelle réunion du comité de suivi de la ligne N°4 aura lieu à l'automne.