Les enjeux des sénatoriales en Franche-Comté

Publié le 28/09/2014 - 09:52
Mis à jour le 28/09/2014 - 11:25

Sous peine d’une amende de 100  euros, 2.944 grands électeurs doivent aller voter dans le Doubs, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône (le Jura n’est pas concerné)  ce dimanche 28 septembre pour les élections sénatoriales partielles.  Le Sénat, qui était passé à gauche en 2011, pourrait changer de majorité, posant également plusieurs questions politiques et institutionnelles.

 ©
©

Trois sièges sont à pourvoir dans le Doubs où le PS risque de perdre un de ses deux sièges. Jean-François Humbert ne se représente pas en raison de problèmes de santé. À droite, la liste officielle de l'UMP menée par Jacques Grosperrin sera face à une liste divers droite de Jean-François Longeot. Les deux hommes espèrent rentrer au Sénat. À moins d'un tsunami bleu dans le département, la liste socialiste du sénateur sortant  Martial Bourquin devrait emporter un siège.

En Haute-Saône, la gauche risque de perdre ses deux sièges, dont celui du vice-président de la commission des lois Jean-Pierre Michel (PS).  Les deux UMP Michel Raison et Alain Joyandet sont dans les starting-blocks…

Dans le Territoire de Belfort: le siège de l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement, qui ne se représente pas, devrait passer à l'UMP représenté par le candidat Cédric Perrin.

Et en Bourgogne ?                

En Côté d'Or,  le PS avait fait sensation il y a six ans en gagnant deux des trois sièges du département. Seul le président du conseil régional François Patriat est assuré de garder le sien. Isabelle Lajoux, qui est au Sénat depuis l'entrée du maire de Dijon de François Rebsamen au gouvernement, est menacée. 

En Saône-et-Loire, l'UMP pourrait perdre un de ses trois sièges, en raison de la proportionnelle.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Politique

L’élu bisontin Kévin Bertagnoli dépose plainte pour “harcèlement” et “menaces de mort”

Le président du groupe Génération-s et adjoint en charge de la Démocratie participative et de la participation citoyenne à la Ville de Besançon, a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République contre les auteurs de publications malveillantes survenues suite à son intervention lors du dernir conseil municipal de Besançon du 4 avril 2024.

Pancartes brandis par les élus RN en conseil régional : les réactions s’enchaînent…

+ Plainte du MRAP • Suite aux pancartes "Violeurs étrangers dehors" brandis par les élus du Rassemblent nationale en soutien au collectif Némésis durant le conseil régional du 11 avril 2024, les réactions s’enchainent… Pour rappel, Marie-Guite Dufay, la présidente de la Région, a indiqué son intention de porter plainte.

Un mot de vocabulaire nazi entendu en plein conseil régional Bourgogne Franche-Comté : l’élu regrette

+ Droit de réponse de Thomas Lutz • Jeudi 11 avril 2024, un membre du groupe Rassemblement national au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, aurait employé une expression empruntée au vocabulaire nazi lors de l’Assemblée plénière qui se tenait à Dijon, est-il dénoncé dans un communiqué de presse de la Région.

Bourgogne-Franche-Comté : Marie-Guite Dufay veut porter plainte contre des élus RN après des pancartes anti-immigrés en plein conseil

Marie-Guite Dufay, la présidente socialiste du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté a annoncé jeudi 11 avril 2024 son intention de porter plainte pour "incitation à la haine" contre des élus du Rassemblement national qui ont brandi des pancartes anti-immigration en séance plénière.

”Violeurs étrangers dehors” : les élus du RN brandissent des pancartes en conseil régional de Bourgogne Franche-Comté

En soutien au collectif Némésis dont l’une des militantes avait brandi une pancarte ”Violeurs étrangers dehors” lors du Carnaval de Besançon le 7 avril, chacun des élus du Rassemblement national au ont, à leur tout, affiché cette même pancarte lors de l’assemblée plénière au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce jeudi 11 avril.

À Besançon et Cussey-sur-l’Ognon, bientôt la création d’une zone agricole protégée : pourquoi ?

Jeudi 11 avril 2024, le projet de création d’une zone agricole protégée (Zap) à Besançon et Cussey-sur-l’Ognon sera soumis au vote des élus de Grand Besançon Métropole. Quels sont les objectifs ? Quel avenir pour ces zones ? François Presse, conseillère communautaire à Grand Besançon Métropole déléguée à l'Agriculture, nous explique.

Affaire de la maire d’Avallon : Marie-Guite Duffay appelle au respect de la présomption d’innocence

Dans un communiqué du 10 avril 2024, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté a réagi suite à la mise en examen et au placement en détention provisoire de la maire d’Avallon et conseillère régionale déléguée à la ruralité Jamilah Habsaoui. Si elle appelle au respect de la présomption d’innocence, Maire-Guite Dufay a également décidé de la suspension de la délégation régionale de l’élue et de l’écarter de son groupe politique.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 7.82
légère pluie
le 16/04 à 12h00
Vent
5.99 m/s
Pression
1016 hPa
Humidité
76 %