"Nous avons décidé en assemblée générale de reprendre le travail à midi", a indiqué Jean-Noël Barbiaux, délégué CGT. "Nos collègues de Dole ont pris la même décision". Ceux de Dijon ont fait de même.
A Strasbourg, ville où est basée la victime de l'agression ayant déclenché ce mouvement, les contrôleurs devaient se réunir en assemblée générale à 14h. La direction de la SNCF recevait vendredi les syndicats à tour de rôle en espérant une reprise progressive du travail, après l'émotion suscitée par la violente agression d'un contrôleur la veille, les trafics TER et TGV étant toujours très fortement perturbés.