Cette décision irait de le sens de son engagement "pour garantir la liberté d’information et la mise en oeuvre d’une protection des lanceurs d’alerte qui jouent un rôle essentiel dans la lutte anti-corruption."
"La forte mobilisation de la presse et des ONG témoigne de la gravité qu’aurait pu engendrer l’instauration d’un tel dispositif et leurs actions a imposé au Gouvernement un changement de cap", indique Cédric Perrin.