Jacques Grosperrin : "les sondages, ce n'est pas une science exacte..."

Publié le 18/03/2014 - 09:39
Mis à jour le 18/03/2014 - 10:34

Avant même la publication des résultats du sondage Ipsos/Steria pour France 3 Franche-Comté et France Bleu Besançon sur les municipales à Besançon et donnant le maire PS sortant gagnant, Jacques Grosperrin a tenu à réagir. En saluant l’initiative d’un sondage, le candidat de la liste d’union UMP-UDI et Modem y voit un début de changement.

 ©
©

Sondage des municipales

Que retient Jacques Grosperrin de ce sondage. Sa réponse, via un communiqué,  tient en trois points :

  •  "Il se passe bien quelque chose de nouveau à Besançon puisque les médias commandent un sondage, au même titre que les villes où le basculement est jugé possible"
  • "Les résultats mitigés et difficiles d'interprétations, avec de nombreux scénarii, montrent que tout est incertain... Sauf le fait qu'il y aura bien un second tour et que l’Union sera présente car elle se compose d’une équipe de compétences qui possède l’envie d’un vrai réveil pour notre ville"
  • "Le contexte national, pour la 1e fois, aura un impact sur les municipales, y compris à Besançon."

Pour jacques Grosperrin, un sondage n'est pas un science exaxte et ne fait que "tenter" de sonder l'opinion public. "Plusieurs variables complexes doivent être gérées : la méthode de recrutement des sondés, le type de questions posées, mais aussi le besoin de devoir se projeter sur un suffrage à deux tours. Les sondés eux-mêmes ont une attitude qui peut venir biaiser les résultats : nécessité de se valoriser, art du consensus, référence à un leader d'opinion de son entourage. Autant d'éléments qui rappellent que les intentions de vote diffèrent du vote réel. Répondre à une question n'est finalement pas émettre une opinion. À noter par ailleurs que certaines populations ne sont presque jamais sondées comme par exemple les jeunes actifs, peu disponibles et joignables exclusivement sur portable".

Le candidat se réjouit en outre d'en découdre avec son opposant Jean-Louis Fousseret lors d'un débat entre les deux tours le 26 mars et organisé par  France 3 Franche-Comté et France Bleu Besançon.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Politique

L’élu bisontin Kévin Bertagnoli dépose plainte pour “harcèlement” et “menaces de mort”

Le président du groupe Génération-s et adjoint en charge de la Démocratie participative et de la participation citoyenne à la Ville de Besançon, a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République contre les auteurs de publications malveillantes survenues suite à son intervention lors du dernir conseil municipal de Besançon du 4 avril 2024.

Pancartes brandis par les élus RN en conseil régional : les réactions s’enchaînent…

+ Plainte du MRAP • Suite aux pancartes "Violeurs étrangers dehors" brandis par les élus du Rassemblent nationale en soutien au collectif Némésis durant le conseil régional du 11 avril 2024, les réactions s’enchainent… Pour rappel, Marie-Guite Dufay, la présidente de la Région, a indiqué son intention de porter plainte.

Un mot de vocabulaire nazi entendu en plein conseil régional Bourgogne Franche-Comté : l’élu regrette

+ Droit de réponse de Thomas Lutz • Jeudi 11 avril 2024, un membre du groupe Rassemblement national au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, aurait employé une expression empruntée au vocabulaire nazi lors de l’Assemblée plénière qui se tenait à Dijon, est-il dénoncé dans un communiqué de presse de la Région.

Bourgogne-Franche-Comté : Marie-Guite Dufay veut porter plainte contre des élus RN après des pancartes anti-immigrés en plein conseil

Marie-Guite Dufay, la présidente socialiste du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté a annoncé jeudi 11 avril 2024 son intention de porter plainte pour "incitation à la haine" contre des élus du Rassemblement national qui ont brandi des pancartes anti-immigration en séance plénière.

”Violeurs étrangers dehors” : les élus du RN brandissent des pancartes en conseil régional de Bourgogne Franche-Comté

En soutien au collectif Némésis dont l’une des militantes avait brandi une pancarte ”Violeurs étrangers dehors” lors du Carnaval de Besançon le 7 avril, chacun des élus du Rassemblement national au ont, à leur tout, affiché cette même pancarte lors de l’assemblée plénière au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce jeudi 11 avril.

À Besançon et Cussey-sur-l’Ognon, bientôt la création d’une zone agricole protégée : pourquoi ?

Jeudi 11 avril 2024, le projet de création d’une zone agricole protégée (Zap) à Besançon et Cussey-sur-l’Ognon sera soumis au vote des élus de Grand Besançon Métropole. Quels sont les objectifs ? Quel avenir pour ces zones ? François Presse, conseillère communautaire à Grand Besançon Métropole déléguée à l'Agriculture, nous explique.

Affaire de la maire d’Avallon : Marie-Guite Duffay appelle au respect de la présomption d’innocence

Dans un communiqué du 10 avril 2024, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté a réagi suite à la mise en examen et au placement en détention provisoire de la maire d’Avallon et conseillère régionale déléguée à la ruralité Jamilah Habsaoui. Si elle appelle au respect de la présomption d’innocence, Maire-Guite Dufay a également décidé de la suspension de la délégation régionale de l’élue et de l’écarter de son groupe politique.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 4.32
légère pluie
le 16/04 à 21h00
Vent
3.84 m/s
Pression
1014 hPa
Humidité
90 %