Les organisateurs n'arrivent pas à joindre le maire et ne peuvent pas trouver un autre lieu à seulement trois semaines du festival.
Par ailleurs, le programme de ce maire FN lors de sa campagne stipulait : "Rap et techno, qui ne sont pas des expressions musicales, seront évidemment privés de tout soutien public" rappelle le site de France 3 Provence-Alpes.