Au lieu de commencer le 9 janvier 2019 comme la loi le prévoit, Francis Palombi avait demandé à Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, un avancement du début des soldes d'hiver au 2 ou 3 janvier. Pour le président de la Confédération des commerçants indépendants de France, cela aurait permis aux commerçants dans une situation financièrement compliquée "de démarrer janvier dans des conditions pas trop catastrophiques, à la condition que les Gilets jaunes ne soient pas à nouveau en mobilisation sur les ronds-points, à l'entrée des villes".
La secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie Agnès Pannier-Runacher, a déclaré vendredi 28 décembre sur Twitter :
"Avancer la date des soldes d’hiver n'est pas souhaité par une majorité de fédérations de commerçants consultées par le Gouvernement. Le début des soldes est donc maintenu au 9 janvier, date à laquelle les commerces se sont préparés depuis plusieurs semaines."
Avancer la date des #soldes d’hiver n'est pas souhaité par une majorité de fédérations de #commerçants consultées par le Gouvernement.
?? Le début des soldes est donc maintenu au 9 janvier, date à laquelle les commerces se sont préparés depuis plusieurs semaines. 1/2— Agnès Pannier-Runacher (@AgnesRunacher) 28 décembre 2018
Avec Bruno Le Maire, nous restons à l’écoute des artisans/commerçants. Bcp ont perdu du chiffre d’affaires suite au mouvement des gilets jaunes. Les services de l’Etat restent mobilisés pour les aider. Je recevrai leurs représentants début janvier pour un point de situation. 2/2
— Agnès Pannier-Runacher (@AgnesRunacher) 28 décembre 2018