Il se rendra aux côtés des services mobilisés pour l’enquête. À partir de 13h30, il échangera avec les propriétaires de chevaux victimes d’agression au centre équestre de Saint-Eusèbe. Il entrera ensuite en réunion avec les services mobilisés pour l’enquête.
Ces actes de barbarie à l’encontre de chevaux sont insupportables. Tous les moyens sont mobilisés et mis en œuvre pour mettre fin à cette terreur.
Je me rends cet après-midi en Saône et Loire, aux côtés de propriétaires victimes et des enquêteurs.pic.twitter.com/aSktikl6ZI
— Julien Denormandie (@J_Denormandie) August 28, 2020
Pour rappel, la gendarmerie de l'Yonne a diffusé le portrait-robot de l'un des suspects (voir notre article).
D'autres affaires similaires sur des chevaux en France
Pour rappel, la section de recherches de la gendarmerie de Besançon est "saisie de chacune des enquêtes des chefs d'actes de cruauté sur animal domestique", en lien avec les brigades de Lons-le-Saunier et Saint-Claude et l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et la santé publique. Les mutilations de chevaux ou d'animaux domestiques se multiplient en France. Fin juin, une note du Service central du renseignement territorial, évoquée par Le Parisien, recensait ainsi au moins onze faits similaires sur des chevaux entre décembre 2018 et l'été 2020.
La Fédération française d'équitation a par ailleurs annoncé la semaine dernière qu'elle se portait partie civile aux côtés des propriétaires de chevaux, poneys et ânes qui ont été tués ou mutilés ces derniers mois.