Visé depuis deux ans par l'enquête pour fraude fiscale, son immunité parlementaire avait été levée il y a quelques jours par l'Assemblée nationale.
Selon Le Monde, le député est notamment soupçonné d'avoir embauché fictivement une assistante parlementaire, épouse d'un de ses anciens employeurs ; mais aussi d'avoir favorisé, en tant qu'élu, des entreprises pour lesquelles il travaillait. Il aurait également reçu des prêts pour un million d'euros non déclarés. Thierry Solère a contesté ces allégations.