Il a toutefois pris l'initiative d'appeler l'administration suisse pour avoir des explications, notamment sur le délais qui s'est écoulé entre la date l'infraction et l'envoi a sollicitation des autorités suisses.
Ces dernières lui ont fait savoir que désormais tous les PV étaient « pistés », même ceux d'un montant inférieur à 120 FS, ce qui n'était pas le cas jusque là. Il a également appris qu'un nouveau logiciel pointe les impayés trois ans en arrière. « La loi nous le permet », a précisé l'interlocuteur suisse de l'entrepreneur bisontin.