Alain Marguet ne lâche pas le morceau. Il attaque en justice les deux décrets N° 2014-516 et 2014-517 du 22 mai 2014. Une décision prise "devant l'impact inestimable sur la santé et l'emploi, de la très vive opposition des autres membres du Collectif Frontaliers Ou bien, mais aussi du scepticisme de tous les élus face au refus catégorique de Mme la Ministre Marisol Touraine"
La fin du droit d'option est devenue pour Alain Marguet une véritable "usine à gaz". "Le gouvernement aurait mieux fait de proroger le droit d'option. La cohabitation assurance maladie privée, CMU a fait ses preuves depuis le 1er juin 2002 et révèle une situation pérenne" explique-t-il dans son communiqué.
Le président du Syndicat national des frontaliers de France se dit confiant dans les suites données au dépôt de ces deux recours auxquels se sont associés l'Amicale des frontaliers et les membres du collectif "Frontaliers ou bien"