Nouveaux tarifs au 1er février
La BAF (Besançon et ses Associations Fédérées), qui est à l'origine de cette mobilisation contre la hausse du prix des transports en commun bisontins, se félicite "du succès obtenu" dans un communiqué.
Besançon, 3ème ville universitaire la plus chère pour ses transports
Cela "ne fait que démontrer l’inquiétude des étudiants, qui voient leur budget une nouvelle fois amoindri." Une hausse qui ramène Besançon "à la place de 3ème ville la plus chère de France, pour les villes universitaires de même importance", rappelle la BAF.
233 euros par an : pas un sou de plus
La mobilisation se poursuit, l'objectif étant d'atteindre les 5.000 signatures (1 etudiant sur 4). Les associations étudiantes mobilisées demandent "l’alignement de leurs abonnements sur la moyenne nationale (233.30€ par an)."