Il a déjà été député de 1997 à 2002 dans la première circonscription du Doubs actuellement détenue par l'UMP Françoise Branget qui l'avait emporté de justesse contre Barbara Romagnan (50,15 % contre 49,85%), conseillère générale PS.
Si le PS valide la candidature de Jean-Louis Foussseret (il y en a déjà qui grincent sérieusement des dents...), il a des chances de retrouver son siège à l'Assemblée nationale à l'âge de 66 ans. Pour lui, comme pour bien d'autres politiques, voire tous les autres, la notion de pénibilité professionnelle apparait donc bien relative...
Maire d'une ville de 120 000 habitants (jusqu'en 2020 s'il est réélu en 2014), député d'une circonscription (jusqu'en 2017 s'il est en 2012)...
Dans ces deux cas de figure, Jean-Louis Fousseret ne prendrait donc sa retraite de maire qu'à l'âge de 74 ans et celle de député à 71 ans. A moins qu'en 2017, il ne sollicite un troisième mandat de parlementaire pour défendre le principe de la retraite à 62 ans pour les autres, fonctionnaires et salariés, dont la pénibilité professionnelle semble avérée...