Jean-Philippe Allenbach, 72 ans. Divorcé, en retraite
- Né le 9 janvier 1948 à Besançon
- Quartier de résidence : Centre-Ville
- Deux enfants, deux filles âgées de 42 et 48 ans
- Taille : 1,72m
Avec son franc-parler, Jean-Philippe Allenbach aime jouer avec son image de trublion de la politique locale. Il souhaite "sortir Besançon du déclin".
Le régionaliste convaincu s'est présenté une seule fois à l'élection municipale de Besançon en 2001 à la fin de l'ère Robert Schwint. C'est donc la seconde fois qu'il se présente à la municipale Bisontine.
- 2001 : 4,08% (1.303 voix)
Le chef de file du "Mouvement Franche-Comté" ( mouvement autonomiste né en 2006) a été le premier à annoncer sa candidature le 25 septembre 2018 avec sa liste Utinam qu'il a depuis renommée "Les régionalistes"
Nom de la liste : "Les régionalistes"
- Parti ou mouvement : Mouvement Franche-Comté
- Étiquette : régionaliste
Origines et famille
- Jusqu'au bac à Besançon.
- Père Secrétaire de la Chambre de commerce suisse à Besançon, puis animateur Radio-Genève.
- Mère (née Saulnier) : employée au CNRS (Institut botanique de Besançon)
Études et principaux diplômes :
- Maternelle et primaire à l'Helvétie,
- secondaire au Lycée Victor Hugo (bac math)
- Diplômé Sciences-Po Paris et Faculté de Sciences économiques à Paris (Assas)
Profession : consultant économique et financier
- Banque de Paris et des Pays-Bas à Paris
- BK of America à Francfort
- Directeur financier à Paris puis directeur général à Zürich d'une société de négoce pétrolier international
Mandats exercés : Aucun mandat politique
Vie associative : Fondateur et ancien président du Parti fédéraliste aujourd'hui président du Mouvement Franche-Comté
Pourquoi vous présenter à l'élection municipale de Besançon ?
"Pour la sortir du déclin - baisse de la population, perte d'attractivité, commerces qui ferment, etc. - la fusion avec la Bourgogne et la concurrence de Dijon ne pouvant qu'aggraver la situation"
- Un modèle politique : Danton
- Un anti-modèle politique : Robespierre
- Votre mentor politique : aucun
- Votre meilleur souvenir politique : la victoire d'avoir réussi par la requête du Mouvement Franche-Comté à faire condamner le gouvernement français par le Conseil de l'Europe pour ne pas avoir consulté par référendum les populations des régions appelées à devoir fusionner.
- Votre pire souvenir politique : avoir été trahi par mes plus proches à l'occasion d'un "putsh" au Parti fédéraliste que j'avais créé
Que pensez-vous des mandats de Jean-Louis Fousseret ?
"Bon pour la déco, mauvais pour la démocratie : je fais référence au référendum bafoué de la gare d'Auxon"
Êtes-vous pour que le maire de Besançon soit également président de Grand Besançon Métropole ?
"Oui"
Retrouvez à partir du mois de février le portrait plus personnel des candidats à l'élection municipale de Besançon.