tags nazis

Dans un communiqué de presse du jeudi 2 novembre, le préfet du Doubs Jean-François Colombet, condamne fermement les tags antisémites découverts ce jeudi matin à Besançon et invite chacun à "se garder de verser dans des amalgames scandaleux".

Lancée à 6h dans le Haut-Doubs sur le secteur de Morteau  par la section de recherche de gendarmerie de Besançon, l’opération visait au total une demi-douzaine de membres présumés du groupuscule « Blood & Honour C18 » (Sang et honneur combat 18), basé en Franche-Comté. Quatre hommes ont été au final interpellés. Des perquisitions ont eu lieu mardi matin pour tenter de retrouver des armes, en vain. 

Trois hommes soupçonnés d’appartenir à un groupuscule néonazi, qui a publié sur son site internet une photo d’hommes cagoulés munis d’armes de guerre, ont été placés en garde à vue, ce mardi 20 mai 2014 dans le Doubs, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Le blog antifasciste Fafwatchfc.noblogs.org de Franche-Comté a dévoilé dans une publication de ce vendredi 16 mai, ce qu’il suppose être l’identité des individus qui auraient tagué la grange à Epenoy la semaine dernière inscivant « Blood C18 Honour » et à l’origine de cette organisation dite néo-nazie.

Le comité Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) de Besançon a dénoncé « avec force »  les tags néonazis de très grande taille réalisés dernièrement sur un bâtiment agricole dans le Haut-Doubs, le long de la route départementale 461 sur la commune d’Epenoy.

Des tags racistes et des croix gammées peints en rouge à l’entrée du lycée professionnel Tristan Bernard ont été retrouvés ce lundi matin. Le groupe UMP du Conseil régional de Franche-Comté déclare que « Ce sont tous les Français qui sont insultés, c’est notre République qui est mise en danger » et parle d’une « incommensurable bêtise humaine d’auteurs enivrés par la banalisation de discours populistes ».
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Un quinquagénaire suspecté d’avoir inscrit plusieurs croix gammées sur le mur d’enceinte du monument aux morts d’Étalans avec une bombe aérosol, a été interpellé dans la nuit du mardi 23 et mercredi 24 juillet 2013 par la gendarmerie.

Le local du Parti socialiste à Besançon a été recouvert d'inscriptions et de tags racistes dans la nuit de dimanche à lundi. Le PS et le Front national ont fait part de leur réaction.