“Et le loup continue de courir dans les forêts d’Alaska”, par Valentin Clerc

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Jeune, Bourguignon et un peu bilingue parce qu'il est allé deux fois à Los Angeles, sa vie trépidante est une immense nuit remplie de météorites, de questions, d'un chef d'orchestre, d'expressions trop vieilles, de thons trop jeunes, d'une anxiété un peu exacerbée, mais aussi de chansons, d'envies, de lampadaires insomniaques, et surtout d'elle.

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