Festival international de musique de Besançon : les guichets sont ouverts…

Festival international de musique de Besançon © Yves Petit

Guichet

Du lundi au samedi, de 13h à 18h  Salle Proudhon au Kursaal (Besançon)

Si vous ne pouvez pas ou ne souhaitez pas vous déplacer, les réservations sont également possibles par courrier ( l'envoi des billets est gratuit cette année )  ou via notre site de vente en ligne.

Suite au coronavirus, la plupart des grands ensembles internationaux n'ont pu être programmés. Certaines formations symphoniques restent toutefois au programme : l'Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, le Concert Spirituel ou encore l'Orchestre de chambre de Lausanne.

Une soirée d'ouverture au centre-ville de Besançon

Habituellement organisée en plein air avec un concert symphonique suivi d'un concert de musique du monde à La Rodia (scène de musiques actuelles), la soirée d'ouverture reprend ses quartiers au centre-ville de Besançon. Elle reste gratuite avec deux concerts en salle, également retransmis en direct sur écran géant, place Granvelle, au cœur de Besançon.

Mais également : 

Remarque : Les concerts seront également diffusés en direct et en différé sur les sites internet de France 3 Bourgogne Franche-Comté et France Bleu Besançon.

Autres temps forts :

 GOD SAVE THE KING !

Le Concert Spirituel

Le Concert Spirituel s'impose sur la scène internationale comme l'un des meilleurs ensembles français. Fort d'une expertise reconnue du répertoire haendélien, Hervé Niquet propose sa vision de deux chefs-d'œuvre du grand maître de l'oratorio anglais : le glorieux Te Deum de Dettingen et les fastueux Coronation Anthems. Parmi ces derniers figure Zadok the Priest, hymne encore chanté aujourd'hui au cours de chaque cérémonie de couronnement britannique, lors de l'onction du souverain. Et pour terminer le concert, une version inédite de God save the King... participative !

CELLO CONCERTO

Orchestre de chambre de Lausanne

Le violoncelliste norvégien Truls Mørk, indisponible, est remplacé par la brillante soliste américaine Alisa Weilerstein. Elle interprète le 1er concerto de Chostakovitch, grand succès lors de sa création par Rostropovitch en 1959, pourtant traversé par l'ironie et l'humour noir du compositeur face au régime soviétique.

L'Orchestre de chambre de Lausanne, qui avait enthousiasmé les festivaliers en 2018, nous propose également deux joyaux de la symphonie classique, la 88e de Haydn et la 36e de Mozart, une des plus riches et des plus nobles.

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