Dernier jour pour profiter de l’été du cinéma français à Besançon

"Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait" de Emmanuel Mouret © DR

Mercredi 28 juillet à 18h et 20h30 - Seules les bêtes de Dominik Moll

Une femme a disparu. Alors que les gendarmes n’ont aucune piste, cinq personnes se savent liées à cette disparition...

"Démarrant comme un thriller social, Seules les bêtes se mue progressivement en une tragédie imprévisible et pathétique, dont chaque facette dévoile un nouveau piège. Le meilleur film de Dominik Moll." – Écran large

Mercredi 4 août à 18h et 20h30 - Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait de Emmanuel Mouret

Daphné est en vacances à la campagne avec son compagnon François. Il doit s’absenter pour son travail et elle se retrouve seule pour accueillir Maxime, son cousin qu’elle n’avait jamais rencontré. Daphné et Maxime font petit à petit connaissance et se confient des récits de plus en plus intimes sur leurs histoires d’amour présentes et passées… 

"Emmanuel Mouret poursuit ses variations sur le sentiment amoureux et les tensions du désir. Mais le film est empreint d’une gravité nouvelle. Jamais son art du récit, façon poupées russes, n’avait trouvé pareilles ampleur et maîtrise." – Les Inrockuptibles

Mercredi 11 août à 18h et 20h30 - Antoinette dans les Cévennes de Caroline Vignal

Des mois qu’Antoinette attend l’été et la promesse d’une semaine en amoureux avec son amant, Vladimir. Alors quand celui-ci annule leurs vacances pour partir marcher dans les Cévennes avec sa femme et sa fille, Antoinette part sur ses traces ! Mais à son arrivée, point de Vladimir, seulement Patrick, un âne récalcitrant qui va l’accompagner dans son singulier périple…

"C’est un grand bol d’air, la surprise d’une comédie populaire et décalée, à l’humour dérangeant, dont les rebondissements emmènent le spectateur bien au-delà du vaudeville annoncé." – Le Monde

Mercredi 18 août à 18h et 20h30 - Effacer l'historique de Benoît Delépine et Gustave Kervern

Dans un lotissement en province, trois voisins sont en prise avec les nouvelles technologies et les réseaux sociaux. Ensemble, ils décident de partir en guerre contre les géants d’internet. Une bataille foutue d’avance, quoique…

"La coquetterie punk du film, le grain malpoli de sa pellicule super-16, ses angles volontairement tordus et ses provocations portent haut la signature des zozos de Groland. Leur rire, pourtant, finit toujours par s’étrangler. On rit, on rit, et soudain plus du tout." – Le Monde

Mercredi 25 août à 18h et 20h30 - Playlist de Nine Antico

Sophie a 28 ans. Elle aimerait être dessinatrice, mais ce serait tellement plus facile si elle avait fait une école d’art. Elle aimerait aussi trouver l’amour, mais ce serait tellement plus facile s’il vous sautait aux yeux. Dans sa tête tourne en boucle Daniel Johnston, qui chante que « l’amour véritable finit bien par vous tomber dessus ». Sophie se demande s’il dit vrai...

"Avec ce film versatile et musical, plein de modulations ambivalentes et nonchalantes qui évoquent l'esprit du cinéma indépendant américain des années 90, Nine Antico exprime un ton souvent absent de notre production nationale." – Transfuge

Mercredi 1er septembre à 18h et 20h30 - Sous le ciel d'Alice de Chloé Mazlo

Dans les années 50, la jeune Alice quitte la Suisse pour le Liban. Là-bas, elle a un coup de foudre pour Joseph, un astrophysicien malicieux qui rêve d’envoyer le premier libanais dans l’espace. Mais la guerre civile s’immisce dans leur paradis...

"Le premier long métrage de Chloé Mazlo porte toute la richesse de cet univers personnel patiemment construit comme l’on confectionne une longue couverture en patchwork. Avec pudeur et poésie, le film donne ainsi à vivre des émotions comme autant de portes d’accès à une histoire complexe dont les stigmates dans le Liban actuel sont toujours bien visibles." Médiapart

Mercredi 8 septembre à 18h et 20h30 - Courts métrages

Un nouvel atelier de programmation s’est ouvert aux spectateurs pendant cette longue période d’absence pour réfléchir à la place que pourrait occuper le court métrage dans nos programmations. Pour cette première expérience collective, rendue possible grâce au soutien de l’Agence du court métrage, nous avons choisi de construire un programme sous l’angle d’une question fondamentale qui touche à l’essence même du cinéma : comment filmer l’invisible ?

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