Le conférencier international Robert Savoie à Besançon ce jeudi

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« Pourquoi faire un travail de pardon pour soi avant tout ? On entend beaucoup parler de l’importance de pardonner. C'est essentiel. Mais sur le chemin du pardon, renoncer à punir l’autre c'est d’abord renoncer à SE punir. C'est alors SE pardonner pour se délivrer des chaînes de la colère, de la rancune, de la haine, de la tristesse, ou toute autre émotion qui fait obstacle à l’amour de soi. », explique Robert Savoie.

Comment croire encore en la beauté de la Vie quand on a vécu la violence dans son enfance, des abus répétitifs, des difficultés d’apprentissage scolaire, la fuite dans la drogue, l’alcool, le travail, la nourriture, puis l’horrible meurtre de son père ? L’histoire qui l’a amené à pardonner aux assassins de son père a fait de Robert Savoie une véritable célébrité au Québec. Depuis 26 ans, il a donné plus de 3500 conférences, ateliers et formations, avec la volonté de mettre son parcours hors du commun au service des autres, pour les aider à pratiquer le pardon, retrouver la capacité de vivre heureux et exprimer pleinement leur potentiel.

La conférence : « On a tous quelque chose à libérer », va bien au-delà d’une simple présentation. C’est une rencontre d’une rare authenticité et qui marque profondément le public. Durant plus de 3 heures, Robert alterne les récits de son parcours et les échanges interactifs pour accompagner les participants à prendre conscience du passé qui les encombre à s’affranchir de ce qui leur pèse et à profiter durablement du moment présent. Pour transformer nos angoisses, nos peurs et nos manques en paix intérieure, il est indispensable de connaître les comportements que nous répétons - souvent inconsciemment - et qui nous empoisonnent la vie.

Selon David Lefrançois, psychologue et neuro-scientifique renommé, Robert Savoie « est le seul à proposer une démarche de pardon intelligente, complète, structurée, et surtout il a la légitimité pour le faire ».

« Le pardon n’efface pas le passé, mais il élargit le futur » comme aime à le dire Robert Savoie.

Il appartient donc à chacun de nous de (re)créer notre bonheur et notre vie. Derrière chaque expérience douloureuse, pratiquer le pardon nous offre la possibilité de consolider nos fondations et de nous (re)construire.

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