« Ce jugement confirme la responsabilité de l’agresseur du conducteur à travers une peine de quatre mois de prison, dont trois avec sursis et mise à l’épreuve.
La direction de Besançon Mobilités indique qu’en 2010, 110 conducteurs, au travers du programme de formation continue, ont suivi une formation d’une demi-journée dédiée à la prévention des conflits et à l’accueil des clients.
En complément, en 2011, 36 conducteurs ont suivi ou suivront une formation de deux jours, dédiée exclusivement à la gestion et la prévention des conflits.
Plus largement, la sécurité des conducteurs et des clients du réseau Ginko est une préoccupation constante de l’entreprise », écrit l’entreprise dans un communiqué.
Ce qu’elle oublie de rappeler, c’est que le conducteur de bus, qui a été confronté à l’agresseur condamné, a frappé en premier et que, selon le procureur « son comportement a participé à l’escalade ».