Le couple et ses trois enfants devaient quitter le
territoire français avant le 29 août. Leur avocate a déposé un recours
suspensif devant le tribunal administratif de Besançon reportant au mois de
novembre l’examen de leur situation. En attendant, ils peuvent rester dans le
foyer d’hébergement de Oye-et-Pallet dans le Haut-Doubs.