Développement durable : Grand Besançon Métropole coche “tous les objectifs” de l’ONU

Lors du conseil communautaire de Grand Besançon Métropole qui se tiendra ce mercredi 23 février en fin de journée, une synthèse du rapport de développement durable 2020 sera présentée aux élus.

Lorine Gagliolo, vice-présidente de GBM déléguée au développement durable © Alexane Alfaro

Selon la loi française, les villes et les établissements publics de coopération intercommunale de plus de 50.000 habitants présentent annuellement à l’assemblée délibérante, préalablement aux débats d’orientations budgétaires, un rapport de développement durable comprenant un bilan de leurs politiques, orientations et programmes et de leur fonctionnement interne au regard des 17 objectifs de développement durable adopté par l’ONU en 2015, à l’horizon 2030. 

"En bonne voie malgré une année 2020 très compliquée"

Dans sa synthèse du rapport de développement durable 2020, Grand Besançon Métropole coche "tous les objectifs de développement durable de l’ONU , à part ceux qui concernent la mer et les océans", indique Lorine Gagliolo, vice-présidente de GBM déléguée au développement durable. "Il y a ensuite une déclinaison des objectifs locaux et on est plutôt en bonne voie malgré une année 2020 très compliquée, même s’il y a toujours des axes de progression", précise-t-elle.

Cinq thématiques

En 2020, GBM a mis en oeuvre 32 objectifs locaux de développement durable, classés en cinq grandes thématiques correspondant aux cinq finalités du développement durable définies par le Code de l’environnement :

Exemples d’actions pour le développement durable dans le Grand Besançon

L’animation du territoire en terme de développement durable avec la mise en oeuvre du Club climat, un groupe de discussion entre différents acteurs du territoire (communes, entreprises, associations, institutions publiques, etc.). "Le but est de nouer le dialogue, de faire comprendre et entendre les objectifs de développement durable du territoire et que chacun puisse y participer", explique Lorine Gagliolo.

Autre exemple : afin de lutter contre le réchauffement climatique, GBM favorise la gestion rationnelle de l’énergie en modernisant ses équipements. C’est un accompagnement des communes sur leur politique, la rénovation de leurs bâtiments ou encore la mise en oeuvre de commandes groupées. "Une grande solidarité existe entre GBM et ses communes", souligne la vice-présidente. 

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