Festival Détonation : les premiers noms dévoilés

Les noms de 23 artistes du Festival Détonation, qui se déroulera du 26 au 28 septembre 2019 à Besançon, sont sortis ce mercredi. Salut c’est Cool, Bon entendeur, Vendredi sur mer, Mix Master Mike, Pongo, Casual Gobberz… Découvrez-les tous.

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On connaissant Deluxe depuis février ; voici les nouveaux noms dévoilés par le festival Détonation.

Jeudi 26 septembre

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La classe de Jean Rochefort, la séduction de Pierre Niney, le rire de Fary, l’humour de Damiens, la comédie de Jean Dujardin.Aller-Retour (dernier album) concentre l’ADN de Bon Entendeur : il est composé de chansons revisitées des années 60-70 et de productions originales mêlées à des interviews. Le tout arrangé avec élégance. 14 titres et autant de ponts entre la musique et les mots, entre le passé et les sons du moment. PPDA raconte avec optimisme la France et son histoire sur un enchaînement de musique inédite. La Rua Madureira de Nino Ferrer et L’amour joue au violon chanté par Jeanette sont réinventés, parfumés à l’électro.

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L’amour à la plage !« Une identité visuelle rétro, une sensualité débordante, des sentiments exprimés sans retenue... Le premier album de Vendredi Sur Mer est porté par la personnalité atypique de Charline Mignot. Longue chevelure en cascade, fruit d’un brushing sophistiqué, déshabillé de soie rose, fauteuil coquillage blanc nacré. Dans un monde où le (bon) goût des autres prime, où le minimalisme chic se partage les faveurs avec les sempiternelles réminiscences pop art, le premier album de Vendredi Sur Mer est d’une fraîcheur qui flirte avec le kitch. »

Vendredi 27 septembre

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Trois ans après leur dernier album, et 6 ans après leur dernier passage à la Rodia, les moustachus de Deluxe sont de retour pour nous donner une leçon de groove. Alors comme ils le disent si bien : si ça t’a plu, reviens moustachu !Au programme : costumes déjantés, chorégraphies communicatives, live survitaminé ! Alors on sort sa plus belle moustache et on profite de l’euphorie contagieuse de ces 6 machines à sauter partout !

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Eton Alive (le dernier album en date NDLR) parle vraiment de lui-même. Une fois de plus nous nous retrouvons au milieu d’un plan élitiste, lentement digérés, en attendant d’être transformés en excréments. Certains le sont déjà, d’autres sont morts, et les derniers s’épuisent dans le ventre d’une idéologie préhistorique, qui en fonction de nos capacités et de notre volonté nous attribue différents niveaux de confort, allant de l’horrible à l’acceptable, en fonction des contributions de chacun. Une fois que le système digestif des Nobles a rejeté nos os, nous tombons dans les toilettes, à la merci de toutes ces politiques en vigueurs, dans la pipe à merde de cette grossière civilisation.» Jason Williamson

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Dj historique des Beastie Boys et de Cypress Hill, (ou en tournée avec Metallica quand il a le temps), Mix Master Mike est un véritable sorcier des platines. Aussi à l’aise avec des vinyles que Michael Jordan dans le 4èmequart temps, Monsieur Mix Master Mike n’a plus rien à prouver à personne ! Son unique préoccupation est de faire danser les foules en mélangeant hip-hop 90’s, d&b ou techno. Il n’a aucune limite vu que c’est lui qui les fixe depuis 30 ans.

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« Je crois que je fais de la musique de science-fiction, mon album c’est un peu un voyage d’un chevalier en automobile qui écoute du R’n’B psychédélique à la radio. » nous explique Flavien Berger. Véritable maître jedi de la bidouille sonore, ce producteur français mélange habilement les passages effrénés et les longues plages contemplatives dignes d’un rêve éveillé.Son récent album « Contre-temps » est une merveille d’inventivité mélodique à écouter de toute urgence !

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Guts c’est chic !Depuis que le hip hop est entré dans sa vie par effraction, quelque part dans les années 80, Guts lui a consacré tout son temps et son énergie. Ciselant pour lui des milliers de samples, passant des nuits à la recherche du beat parfait ou de la mélodie justement calée. Repoussant sa perpétuelle exploration pour aller vers l’électrofunk, l’afro-disco et le jazz spatial, Guts ne s’interdit rien !

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Toute une génération de musiciens, biberonnée au hip hop, pour redonner du sang neuf à une musique centenaire. Et ce d’ailleurs souvent en remontant directement aux sources originelles du jazz, les marching bands de la Nouvelle-Orléans.C’est le cas de Bad Fat qui caracole ainsi sur une corde invisible tendue entre tradition et modernité. Le groupe connaît ses fondamentaux par coeur et pioche autant chez Don Cherry que chez Public Enemy pour remuer des hanches et faire swinguer cuivres et vents. Et pour que le show soit encore plus bouillant, Bad Fat a invité derrière le micro 2 MC’s :Napoléon Maddox (iSWHAT?!), associé à Jay Ree P. (Zenzile) !

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Le Gabber vous voyez ? C’est de la techno hardcore jamais en dessous de 185 BPM (donc ça va vite voir très vite) qu’on voit souvent en gif pour annoncer le week end ou le lundi matin.Casual Gabberz est un collectif de cinq artistes organisant des événements club d’inspiration Gab-ber. Fasciné par ce courant né aux Pays Bas dans les années 90, le crew se plaît à réinventer ce style avec des influences club contemporaines, tissant un lien entre le mouvement hardcore originel et les genres/sous-genres de la génération internet. Prêts à danser le hakken ?

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La gamine de la Cuca (Angola) a 24 ans. Diva d’un Kuduro métissé et progressif, Pongo y incarne le renouveau du genre, mélangeant l’influence de ses racines africaines, langa, zaïco, avec EDM, bass music, dancehall et Tribal pop.Sa voix, puissante, rythmique, mais également fragile et sensible, nous entraîne dans son univers envoutant, aux confins de la danse et du saudade. Là où personne ne nous avait emmené auparavant.

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C’est dans la mystique Constantine que Mauvais Oeil a choisi de démarrer son odyssée. Sarah et Alexis y rêvent un Orient aux confluents de leurs différentes origines, mêlant rythmiques coldwave et saz traditionnel, gammes byzantines et sonorités psychédéliques, djinns et esprits lumineux...

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Zenobia est basé à Haïfa en Palestine, et se trouve à la pointe de l’excitant nouveau courant de musique électronique palestinienne, qui s’est développé en parallèle de part et d’autre de la ‘ligne verte’, à Haïfa et à Ramallah, jusqu’à ce que les deux scènes se connectent, nouent des liens forts, et s’étendent au-delà des frontières, jusqu’à Amman, Beyrouth et la diaspora. Le duo se compose de Nasser Halahlih, véritable pionnier du mouvement, et du jeune claviériste Isam Elias.

Samedi 28 septembre

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Salut c’est cool évolue entre l’art du gros son, les voix fluettes de la poésie et le bricolage vi-déo-numérique. Sous des allures désinvoltes, ama-teuristes voire même décérébrées tant ils cultivent les figures de l’idiotie, Salut c’est cool mène une expérimentation sonore et scénique poussée qui ignore les frontières du haut culturel et du bas populaire, du réel et du virtuel, de l’art et la vie pour reprendre le grand thème des avant-gardes artistiques du XXe siècle dont ils sont un prolon-gement à l’âge du post-internet et de You Tube.

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Et si Mozart avait eu accès à une guitare électrique, aurait-il composé au piano ? Et si Bach avait eu un sampler sous la main, aurait-il vraiment utilisé des cuivres ?Reprendre les œuvres emblématiques du répertoire classique avec une douzaine de guitares électriques, 5 basses et un panel de percussions et machines amplifiées, c’est le défi que se sont lancé les 26 bisontins d’Ørkestra. Après des heures de lecture, de réécriture et d’arrangements, de slams dans un tour bus ... ça dépote !

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Techno haute en couleur aussi sensuelle que frontale Irène Drésel vient se sortir l’un des albums electro les plus intéressants de l’année. Entre sensualité, érotisme, rêverie, et hypnose, qu’elle oppose avec des beats radicaux et sportifs, Irène Drésel nous invite dans un voyage entre attraction et répulsion, entre sensualité et radicalité, entre douceur et aridité. Un curieux mélange entre Stéphan Bodzin, Nathan Fake et Helena Hauff qui fait remuer les pieds et voyager l’esprit.

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Déjà connu pour être la moitié de DBFC et pour ses remixes de Superpoze ou Get a Room! , Dombrance s’est lancé un sacré défi : faire rimer musique avec politique !Mais comment fait il pour rendre Raffarin hyper cool? Et bien avec un electro à la sauce disco plus entrainant qu’un titre de Beyoncé à 4h du mat’. On se laisse vite emporter par les mélodies dansantes et les chœurs romantiques ... à écouter tous les ma-tins pour avoir la pêche et le sourire.

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«Biberonnée dans une Soul/R&B racée du début des 60’s, du Rock ‘n’ Roll/Blues un poil sudiste, une Folk 100% Americana et de la Surf/Psyché’ typique de la côte ouest, Mattiel possède un son foutrement stylé, embelli par de chouettes cuivres ainsi qu’un orgue du plus bel effet.Sans pour autant l’ériger au titre de « l’album de l’année » (mais qui mérite vraiment ce titre?), ce premier opus de Brown et son groupe est un disque racé intemporel, typé’ « rétro » mais doté d’une vraie personnalité. L’une des belles découvertes de l’année et un indispensable pour l’été. Un putain de bon album, franchement bluffant!» Webzine Showshow

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Slackers surement mais branleurs absolument pas ! Même si ils ont les cheveux de toutes les couleurs, des airs d’ados et un humour clipesque bien prononcé, Th Da Freak a sorti en un an : deux albums, deux EPs et un tout récent double-album de faces B, excusez du peu. A l’image de la créature, Freakenstein (dernier album en date) recycle les chairs mortes pour créer quelque chose d’incisif et d’accrocheur. Les Th Da Freak sont un peu ce groupe de potes qui répètent dans le garage d’à coté avec la fâcheuse tendance a toujours viser juste en allant à l’essentiel, chaque titre est un tube en puissance, osons le dire. Groupe du futur pour les nostalgiques des nineties? Surement. Groupe du futur tout court ? Absolument !

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Grands potes des Johnny Mafia chez qui ils ont enregistré leur premier EP, Blue Orchid c’est du rock turbulent bien garage, simple mais terriblement efficace ! Une batterie, une guitare et une bonne disto ricaine style Bass Drum of Death, c’est tout ce qu’il faut au duo bourguignon pour nous sortir un son puissant à souhait, sans fioriture et plein d’énergie.

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Deux musiciennes parisiennes issues de la scène post punk pour l’une et électronique pour l’autre, puisant dans les froideurs techno originelles et les musiques industrielles pour construire un univers pop protéiforme.Leur musique est minimaliste, synthétique, et nous plonge dans des atmosphères étranges et tendues. Synthétiseurs analogiques, électronique vintage, plages dance et séquences mélodiques, s’agrègent à des beat répétitifs, saccadés, et obsédants. Un mélange de clichés dark et de cigarettes pour les amateurs d’émotions directes et de dancefloor.

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Début 2018 débarquait un drôle de garçon et un tube en devenir « Seul sur ton tandem ». Regard malicieux et trompette à la main, Thibaud Vanhooland aka Voyou fait rapidement sensation avec ses rythmes chaloupés et son live enthousiasmant, vu notamment aux Vieilles Charrues, Fnac Live et en première partie de Fishbach, Eddy de Pretto ou encore Polo & Pan.

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Tout a commencé à Bruxelles quand les serveurs de World of Warcraft étaient en maintenance pendant une nuit. Comme tout bon joueur compulsif, le jeune Lucas (alias Todiefor plus tard) s’est demandé ce qu’il pourrait faire de ses 10 doigts et c’est alors qu’il télécharge Fruity Loops et là un nouveau monde s’ouvre à lui ... la musique électronique ! Ça c’est pour le conte de fée 2.0.Apres plusieurs collaborations, Todiefor a lâché une bombe avec le titre « Signals » ! On vous cache pas qu’au bureau on s’est vraiment demandé ce qui se passait et il est devenu évident que Todiefor devait venir à Détonation. On prévient direct c’est très très très addictif.

Billeterie :

Accessibilité :

L’ensemble du site est accessible aux personnes en situation de handicap.En partenariat avec l’APF : accueil par une équipe dédiée, conditions tarifaires spécifiques pour les personnes nécessitant un accompagnant (sur réservation), parking à proximité de l’entrée du festival, mise à disposition de fauteuils, toilettes équipées... philippe.angelot@larodia.com

Le Bal à Didjier Corrèze – Merchandazing

Pour que Détonation reste à jamais dans vos mémoires (et dans vos armoires) notre stand de merchandising sera ouvert les 3 jours du festivals avec de nombreuses surprises présentées par DJ Corrèze lui même. C’est pas un chapiteau c’est ... !

Miam miam et glouglou

Des foodtrucks seront présents sur le site donc pas besoin de prévoir une glacière pleine de sandwichs, des restaurateurs vous proposeront un large choix de mets (y compris pour les végétariens) ! Bien sûr pour les amateurs de houblon gazeux les bars seront à votre disposition contre des tickets boissons.

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