Le choix du maintien de ces classes bi-langues a été laissé à l'appréciation des recteurs. "Le Sénateur s’interroge sur la considération portée aux départements considérés comme ruraux. Cette décision est incompréhensible lorsque l’on sait que ces classes représentent une réelle richesse pour les collégiens."
Parlant de "discrimination territoriale", il demande à la Ministre de l’Education Nationale "d’expliquer cette rupture d’égalité entre tous les collégiens de France."