Les classes bi-langues réduites de moitié : “une discrimination territoriale” pour Jean-François Longeot

Dans une question écrite au Ministère de l’Education nationale, le sénateur du Doubs s’inquiète de la suppression de près de la moitié de classes bi-langues sur l’académie de Besançon, quand « toutes les classes […] de l’Académie de Paris sont maintenues ».

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Le choix du maintien de ces classes bi-langues a été laissé à l'appréciation des recteurs. "Le Sénateur s’interroge sur la considération portée aux départements considérés comme ruraux. Cette décision est incompréhensible lorsque l’on sait que ces classes représentent une réelle richesse pour les collégiens."

Parlant de "discrimination territoriale", il demande à la Ministre de l’Education Nationale "d’expliquer cette rupture d’égalité entre tous les collégiens de France."

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