Dans son allocution, Jean-Louis Fousseret a pris de nombreux exemples pour parler de son bilan : la rénovation urbaine, le développement de Témis Innovation et Témis Santé, le retour des entreprises horlogères et du luxe, la santé avec l’Institut fédératif du Cancer qui ouvrira fin 2015, la Rodia et ses 100 concerts à l'année, la cité des Arts de Kengo Kuma, le classement des fortifications Vauban au patrimoine mondial de l'UNESCO ou encore l'obtention du label Énergie Gold.
"Ce qui me hante, ce n’est pas les élections de 2014, même si j’y pense le matin en me rasant. Ce qui m’obsède c’est le développement intelligent et responsable de notre ville".
Sécurité
"Après les bus Ginko, nous installons des caméras de vidéo protection, non pas pour fliquer, mais pour protéger (...) Il ne doit pas y avoir de zone de non-droit, ici à Besançon. (...) Ce qui veut dire très clairement : quand la ligne blanche est franchie, il faut sanctionner".
Éducation
"Nous sommes la seule ville de France à offrir gratuitement une aide au devoir aux enfants de primaire et nous avons mené une politique offensive dans ce domaine"
Université : "Un rapprochement est en cours, pas une fusion. (...) Cela est nécessaire, car c’est ensemble, non pas en opposition, mais bien de façon complémentaire, que nous pourrons continuer à exister et à être visibles..."
Sport
"Bien sûr nous avons perdu certaines équipes de haut niveau, mais en sommes-nous responsables ? Avons-nous bien fait de ne pas céder aux sirènes qui auraient conduit à une escalade des subventions ? Je pense que oui dans ce contexte de raréfaction de l’argent public. Cela n’a pas été facile, mais aujourd’hui nous assistons à une renaissance, dans le hand féminin et masculin, le basket, le rugby, le hockey, mais aussi le foot, avec des clubs qui construisent des bases solides, en formant les jeunes pour les conduire vers l’élite".
Le Tram : "Vite, vite, vite la fin des travaux !"
"J’ai pris cette décision, non pas pour inscrire mon nom dans l’histoire de cette ville. Et ce n’est pas par caprice ! Le tramway nous a permis de conduire un grand chantier de modernisation de réseaux qui étaient arrivés à bout de souffle (...) parce qu’en période de crise ce sont 1000 emplois qui ont été créées localement et qui ont maintenu bon nombre d’entreprises à flot".