Ce système doit permettre de dédommager la SNCF, qui se plaint depuis longtemps de ces lignes --Corail, Téoz, Intercités et trains de nuit-- qu'elle doit assumer au nom du service public.
Les pertes de ces «trains d'aménagement du territoire» (TAT), récemment rebaptisés «trains d'équilibre du territoire» (TET), sont évaluées à environ 200 millions d'euros par an.
Parmi eux, seuls quatre sont rentables, selon la SNCF: Paris-Clermont, Paris-Limoges-Toulouse, Paris-Rouen-Le Havre et Paris-Caen-Cherbourg.