No Logo Festival : le bilan

Cette première édition du festival No Logo est une réussite ! Près de 19 000 festivaliers se sont rendus aux Forges de Fraisans ces 14 et 15 août. Malgré une extension de budget d’environ 100 000 euros, les organisateurs sont très contents et songent déjà à une seconde édition.

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Pour accueillir les festivaliers sur un site de 7000 m2, 200 salariés engagés par l'entreprise de booking, organisatrice du festival Mediacom occupaient les postes de barmen, techniciens, agents de sécurité, agents d'entretien, à la billetterie et à la logistique et aucun bénévole.

Les pass deux jours ont été vendus avant l'ouverture du festival. Les pass à la journée ont tous été vendus chaque jour. Pour Mediacom, c'est une réussite comme le souligne Claire Henocque, booking agent : "on sent que le concept parle, que les gens se sont appropriés ce concept, et qu'ils ont envie de le défendre avec nous. On est très content et on espère que ça donnera lieu à de multiples édition ici, à Fraisans".

Un budget fixé à 180 000 euros... puis 280 000...

Selon Florent Sanseigne, manager chez mediacom et organisateur du festival No Logo, "le budget prévu au départ s'élevait à 180 000. On a dû l'étendre à environ 260 000, 280 000 euros. Il a fallu, entre autre, aménager des parcelles de routes autour du site pour la sécurité des festivaliers".

Quels artistes pour la seconde édition ?

Difficile, pour certains reggaemen, d'imaginer de meilleures têtes d'affiche pour l'année prochaine que lors de cette première année de No Logo (Alpha Blondy, Julian Marley, Israel Vibration, Cappleton...) Pour Claire, ce n'est pas un problème, enfin presque : "chez Mediacom, on a quand même 25 artistes avec lesquels on travaille durant toute l'année donc on retrouvera certainement de ces artistes l'an prochain, lesquels ? Je ne sais pas encore. Dans l'organisation de tout festival, il y a une bonne part d'opportunisme car selon la date du festival, on est bien obligé de s'adapter aux artistes qui seront en tournée à cette période-là. En tous cas, on a envie de garder cette base reggae parce que c'est ce qu'on sait faire et c'est ce qu'on aime. Après, en effet, Alpaha Blondy, c'est notre le "gros" artiste, notre tête d'affiche principale. Mais nous avons aussi beaucoup d'autres artistes comme Morgan Heritage, Tarrus Riley, The Gladiators etc.".  

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