Régionales 2015 : nos 3 questions à… Nathalie Vermorel (Alternative à gauche)

Ce vendredi 4 décembre 2015, nous posons nos 3 questions à chaque candidat (excepté du Front national et de l’Alliance écologiste indépendante qui ne nous ont pas répondu) dans une vidéo. Voici les réponses de Nathalie Vermorel, candidate de L’Alternative à Gauche en Bourgogne Franche-Comté. 

Nathalie Vermorel, candidate de l’Alternative à Gauche en Bourgogne Franche-Comté from maCommune.info on Vimeo.

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Nos 3 questions posées en vidéo à chaque candidat sont :

"Qu’il s’agisse de l’action pour l’emploi et le pouvoir d’achat par le biais des tarifs de certains services, qu’il s’agisse de l’organisation des transports, de la transition écologique, de l’équipent des lycées, de la formation professionnelle, de l’aide aux associations, les interventions de la région touchent à notre vie quotidienne. S’abstenir conduit à confier à d’autres le droit de décider de notre quotidien.

La particularité de la liste « L’alternative à Gauche », c’est que c’est la seule liste clairement « anti-austérité ». Par la cohérence de son combat contre les politiques nationales et européennes de réduction les services publics et de laminage des droits sociaux, elle propose la rupture avec les orientations actuelles qui, seule, sera à même d’apporter un mieux être significatif aux Bourguignons et aux Franc-Comtois.

Egalité, solidarité et citoyenneté, tels sont les trois piliers de notre programme.

Egalité entre les hommes et les territoires, cela signifie qu’il n’y a pas d’un côté des grandes villes métropoles où se concentrent les richesses et les services, les bonnes écoles, les bons hôpitaux, les équipements sportifs de qualité, le haut débit, une offre culturelle diversifiée, et de l’autre des déserts où disparaissent écoles, bureaux de poste, tissu associatif, services médicaux et transports collectifs.

 Solidarité, cela signifie que nous refusons la logique de concurrence entre les territoires, déguisée souvent sous le nom de compétitivité-attractivité, pour le plus grand bien des multinationales qui les mettent aux enchères. Nous lui opposons au contraire la logique de coopération et de solidarité territoriales, pour le plus grand bien des populations qui y vivent.

Citoyenneté : cela signifie que nous organisons d’une manière inédite l’implication des citoyens dans les processus décisions qui les concernent ; il ne s’agit pas de simples concertations, mais du droit d’intervention sur les grands projets structurants, du pouvoir d’évaluation des interventions régionales que nous voulons faire rentrer dans les mœurs politiques."

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