«Il serait aberrant quand le Front national est aussi haut et quand la droite vit une telle crise, de nous payer le luxe d'une primaire de confrontation entre candidats réformistes», a déclaré lors d'un point-presse l'élu qui se déplaçait dans le Rhône dans le cadre de la campagne des élections cantonales.
Accueilli par un autre partisan de Dominique Strauss-Kahn, Gérard Collomb, le sénateur-maire PS de Lyon, Pierre Moscovici a souhaité une primaire «qui ne soit pas de ratification mais de rassemblement».