La prime sera reconduite tous les ans et concernera quelque huit millions de salariés. Le montant est négocié dans chaque entreprise.
Aucun ministre concerné par le sujet n’avait avancé le caractère obligatoire de la prime. Ils évoquaient une contrainte par rapport à une obligation de négociation.
Nicolas Sarkozy a donc choisi le pire scénario pour les patrons.