Le Noctran (troubles du sommeil), et qui recouvre trois principes actifs « sans intérêt », fait l'objet d'une proposition de retrait examinée en mars.
Le Celance, contre la maladie de Parkinson, ferait courir des risques de valvulopathie. L’arrêt de sa commercialisation a été demandé par le laboratoire
Le Multaq, médicament commercialisé en France depuis fin octobre 2010 et utilisé contre les troubles du rythme cardiaque, fait l’objet d’un suivi renforcé après le signalement de cas d’hépatites graves, notamment aux Etats-Unis.
Alli, une pilule anti-obésité vendue sans ordonnance va faire l’objet d’une réévaluation du rapport bénéfice/risque car elle pourrait entraîner des troubles pancréatiques et hépatiques.
L’antidiabétique Actos doit également être réévalué en raison de risques cardio-vasculaires et de cancer de la vessie.
Le Roaccutane (isotrétinoïne et génériques), médicaments contre l’acné, doit également faire l’objet d’une surveillance accrue en raison de risques psychiatriques et d’un risque de malformation du fœtus.
Le Buflomédil (ou Fonzylane), un vasodilatateur, devrait aussi bientôt disparaîtra des rayons des pharmacies d’ici 15 jours à 3 semaines.
Le Noctran des laboratoires Menarini, utilisé pour les troubles du sommeil associant trois principes actifs "sans intérêt" fera l'objet en mars d'une proposition de retrait.