Robert Schwint: “Jean-Louis Fousseret n’était pas mon poulain”

Maire socialiste de Besançon de 1977 à 2001, Robert Schwint, aujourd’hui âgé de 82 ans, se livre dans le dernier numéro de La Presse Bisontine. A fleurets mouchetés, mais sans langue de bois, notamment à l’égard de son successeur. Quelques extraits…

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Sonorama: "Quand on est maire, il faut de l'autorité et ne pas laisser passer n'importe quoi".

Tramway: "J'aurais hésité à m'y engager. Une fois encore, le choix a été fait, je le respecte, chacun devra assumer ses responsabilités. Je suis diplomate et démocrate".

Jean-Louis Fousseret: "Contrairement à ce que certains disent, Jean-Louis Fousseret n'était pas mon poulain. J'ai laissé le soin au parti socialiste de désigner mon successeur".

Claude Jeannerot: "C'est quelqu'un qui aurait sans doute eu le profil requis pour être maire de Besançon".

Les Verts: "J'avais mis en garde Jean-Louis Fousseret sur le fait qu'il aurait sans doute un jour des problèmes avec les Verts".

Funiculaire: "C'est un échec malgré toute la bonne volonté déployée pour réaliser ce projet. On y croyait à ce funiculaire de la Citadelle. Je suis allé plaider le dossier jusqu'au ministère de l'Equipement. En vain."

n°113 de La Presse Bisontine datée de septembre en vente dans les kiosques au prix de 2€.

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