Un an de réouverture : la nocturne au Musée des Beaux-Arts de Besançon

Ce week-end, c’est J+365, la célébration de la première année depuis la réouverture du Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon ! Pour fêter l’événement, l’entrée est gratuite tout le week-end. Et ce samedi 16 novembre 2019, c’était nocturne…

Nocturne au musée des Beaux-Arts ©MC ©

Un an déjà que le musée a rouvert ses portes !

Pour célébrer cette date anniversaire, le Musée est ouvert, gratuitement, à tous durant le week-end. Et il organise des animations !

Nocturne au musée

Ce samedi 16 novembre 2019 au soir, c'était nocturne jusqu'à minuit : entrée gratuite, DJ à l'entrée et déambulation libre. Et l'animation a rencontré un franc-succès (voir nos photos).

Voici le programme de ce dimanche 17 novembre :

14h-16h | Visite-atelier 7-12 ans

Du pareil au même # reproduire l’image

Atelier contre-épreuve ou linogravure autour de l’exposition La Chine rêvée de François Boucher, pour créer et reproduire ses images.

14h-18h | Bar à maquillage

14h30 Visite «Bienvenue au musée »

Découvrez le musée et ses collections.

15h | Visite « Boucher et les chinoiseries »

Yohan Rimaud, commissaire de l’exposition, vous invite en Chine et au XVIIIe siècle le temps d’une exposition temporaire.

16h | Goûter participatif et résultat de l’élection de l’oeuvre préférée 2019

Venez partager gâteaux et friandises tirés du sac avec les autres participants de cet événement festif.

16h30 | Visite « De l’or à l’orange »

Visite thématique pour découvrir les oeuvres autrement.

16h30 | « L’Empire céleste sur petit écran au XVIIIe siècle »

... Ou comment entrer dans l’intimité des classes bourgeoise et aristocratique du milieu du XVIIIe siècle, partager la fascination que la Chine exerce sur la société du temps, explorer ses provinces imaginaires avec les yeux de peintres et d’ornemanistes anonymes ou célèbres (Boucher, Pillement, Peyrotte, Huquier, etc.), découvrir sa topographie avec les meilleurs cartographes, bref voyager sans quitter son fauteuil par la grâce d’un objet dont la fonction, et jusqu’au nom même, sont aujourd’hui complètement oubliés : le « petit écran » du XVIIIe siècle.

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