Dans un communiqué, Jean-Louis Fousseret, président du Grand Besançon, Jean-Claude Roy, vice-président délégué chargé des transports et la direction générale condamnent « avec la plus grande fermeté l’agression lâche et inadmissible dont a été victime un chauffeur de bus du réseau Ginko ».
«Nous exprimons notre solidarité totale vis à vis du chauffeur, à qui nous souhaitons un prompt rétablissement physique et moral, ainsi qu’à l’ensemble du personnel de Kéolis, qui assure avec professionnalisme le fonctionnement du réseau GINKO dont nous sommes fier. Nous les assurons de notre détermination, aux côtés de Kéolis, à tout mettre en oeuvre pour que ces agressions ne se reproduisent pas.
Par ailleurs, nous comprenons les réactions que cet acte scandaleux peut provoquer parmi tous les professionnels qui sont au contact quotidien avec le public, qui assurent pour les usagers le transport quotidien dans l’ensemble de l’agglomération. Nous espérons que les agresseurs soient le plus rapidement possible interpellés et condamnés fermement en regard du préjudice grave qu’ils ont infligé au chauffeur. Il n’est pas acceptable que les responsables de cette agression mettent en cause le service public et mettant en danger ceux qui l’exercent».