"J’aurais dû être footballeur professionnel", reconnaît-il quarante ans après dans les colonnes du quotidien.
"Son entraineur de l’époque au RCFC de Besançon (division 2) avait pourtant tout fait pour intégrer le jeune Haut-Saônois dans son équipe. Contrat dans une main, stylo de l’autre, il avait même fait le voyage à Champlitte où les parents du secrétaire d’Etat tenaient un restaurant. Rien à faire, M. Joyandet père est resté intraitable et le fils a accusé le coup sur le moment. Mais, sans rancune", peut-on lire dans Le Pays.
"Je ne regrette jamais rien. Je n’en veux pas à mon père, je pense même qu’il avait raison", estime aujourd’hui l’intéressé soulignant quand même "que ça aurait pu marcher". C’est vrai qu’il avait un palmarès assez fourni et une réputation d’avant-centre dangereux, souligne le journal de l'Aire urbaine.