L’éventuel repreneur, que nous avons pu joindre par téléphone, a confirmé qu’il s’intéressait à l’entreprise, mais qu’il n’y avait rien de fait. Préférant qu’on ne cite pas son nom pour ne pas faire capoter les discussions, l’assureur estime que pour l’instant « il n’est rien » et qu’il faut attendre deux trois semaines avant d’avoir une réponse claire. Même s’il estime que « Camponovo, c’est urgent, mais ça ne dépend pas que de moi ».
Il n’a pas voulu en dire plus sur sa motivation de se porter acquérir de la librairie universitaire. Jean-Louis-Fousseret, maire de Besançon, et Eric Alauzet, député, sont également venus aux nouvelles.
« Il faut laisser venir, je suis prêt à le recevoir », a suggéré le maire aux salariés qui vont rencontrer l’assureur ce vendredi. Ils en sauront peut-être plus également lors de la réunion des délégués du personnel qui a lieu samedi matin.