"C'est sa version, on n'a pas grand chose à en dire, nous laissons le salarié libre de s'exprimer", a réagi Yveline Hurel, responsable des ressources humaines de l'entreprise. "Il est évident qu'une entreprise ne prend pas ce type de mesure à la légère, ce sont des décisions pesées", a-t-elle ajouté sans vouloir donner d'autres précisions. "Il y a des instances pour juger ce genre d'affaire et s'il veut contester il n'y a pas de problème, nous sommes prêts à en débattre", a encore affirmé Mme Hurel.
Le salarié devrait déposer une requête pour licenciement abusif en début de semaine prochaine devant le conseil des Prud'hommes. La TGD emploie une trentaine de conducteurs. Elle a doublé ses effectifs courant 2009 à l'occasion de l'agrandissement du réseau.