Dimanche 24 novembre 2013, c’est aux sons synthétiques de ESB, projet expérimental emmené par Yann Tiersenque, la septième édition de GéNéRiQ, ce festival initiée et programmée par Les eurockéennes de Belfort, s’est clôturée.
D’appartements en bureaux, de maisons d’arrêt en salles de concert en passant par les abbayes, des salons de coiffure ou des centres hospitaliers, GéNéRiQ imprime depuis sept ans son empreinte au cœur même des villes.
"Face aux frimas de l’hiver, le festival GéNéRiQ a réchauffé les cœurs, les mains et les pieds des festivaliers en offrant aux artistes de l’océan indien et au festival réunionnais du Sakifo, invité de GéNéRiQ 2013, une place de choix dans la programmation" précisent les organisateurs.
Une fois encore, l’anti-festival GéNéRiQ, événement mutant du paysage musical hexagonal, "a réussi à apporter la musique dans le quotidien des villes et à rassembler jeune public, mélomanes affirmés, clubbers et curieux autour d’instants musicaux atypiques vibrants et chaleureux".
Cette aventure musicale effrontée est produite en étroite collaboration avec La Vapeur (Dijon), Le Moloco (Audincourt), La pourdière (Belfort), Le Noumatrouff (Mulhouse) et La Rodia (Besançon).