Haute-Saône : il vient d’avoir son permis, mais se le fait retirer pour avoir conduit sous stupéfiant et refusé d’obtempérer

Dans la nuit de samedi 21 à dimanche 22 décembre 2019, la gendarmerie de Haute-Saône a intercepté un véhicule dont le conducteur a refusé d’obtempérer à deux reprises lors d’un contrôle routier dans l’agglomération de Montigny-lès-Vesoul. Et ce n’est pas tout…

©Alexane Alfaro ©

Les militaires de la brigade motorisée de Vesoul étaient positionnés sur deux postes de contrôle routiers en agglomération de Montigny-lès-Vesoul.

Vers minuit, le conducteur d’un véhicule arrive sur le premier poste et, à la vue des motocyclistes, refuse de s’arrêter et prend la fuite en éteignant ses phares. Il circule dans le village et arrive sur le deuxième poste où, cette fois encore, malgré les injonctions des militaires, il refuse d’obtempérer et poursuit sa route.

Les motocyclistes ne peuvent le suivre en sécurité, mais ont parfaitement identifié le conducteur qu’ils connaissent défavorablement.

Ils ont également relevé la plaque d’immatriculation du véhicule qui appartient bien à l’intéressé : un jeune homme à peine majeur demeurant chez ses parents sur le secteur de Vesoul. Les motocyclistes se présentent immédiatement au domicile des parents du mis en cause, ce dernier est présent et reconnaît les faits.

Un permis de conduire délivré seulement 15 jours avant

Soumis au dépistage de stupéfiants, le résultat se révèle positif. Les militaires constatent alors que cela fait moins de deux semaines que ce jeune conducteur est titulaire du permis, qui lui est d'ailleurs immédiatement retiré. Il est convoqué en justice afin de s’expliquer sur l’ensemble des faits.

Ils ont également relevé la plaque d’immatriculation du véhicule qui appartient bien à l’intéressé : un jeune homme à peine majeur demeurant chez ses parents sur le secteur de Vesoul. Les motocyclistes se présentent immédiatement au domicile des parents du mis en cause, ce dernier est présent et reconnaît les faits.

Soumis au dépistage de stupéfiants, le résultat se révèle positif. Les militaires constatent alors que cela fait moins de deux semaines que ce jeune conducteur est titulaire du permis, qui lui est d'ailleurs immédiatement retiré. Il est convoqué en justice afin de s’expliquer sur l’ensemble des faits.

Quitter la version mobile