Dans une interview accordée à LCI, François Rebsamen a démenti tout accueil difficile de la population, parlant d'un "véritable bain de foule pour le président". "Quelques olibrius ont hurlé, sinon ça a été un vrai moment de bonheur".
Interrogé sur un homme dégagé sans ménagement alors qu'il criait au président de penser aux ouvriers, le maire de Dijon a dit: "oui, je le connais bien, je vous le présenterai si vous voulez, je sais ce que je dis". Avant d'ajouter : "C'est regrettable qu'on se cristallise là-dessus."
Dans le quartier populaire des Grésilles, exemple de rénovation urbaine, mais où le chômage culmine à 32%, le chef de l'Etat a été pris à partie par trois personnes écartées vivement par le service d'ordre.
(Source : AFP)