Interrogé par Catherine Eme-Ziri dans l’émission « La voix est libre », Jacques Grosperrin a reconnu qu’il n’est pas près d’oublier sa mise à l’écart par Eric Alauzet, candidat Verts soutenu par la gauche.
« Pour être un bon gagnant, il faut être un bon perdant. J’ai perdu une élection. C’est un moment de la vie politique. J’en gagnerai d’autres et j’en perdrai d’autres. C’est vrai que je me souviendrai longtemps des Verts, mais sans aucune acrimonie, sans aucun reproche particulier».
Faisant allusion à son environnement familial de gauche, Jacques Grosperrin, qui a pris sa première carte au RPR en 1995, a souligné que « lorsqu’on vient d’une tradition de gauche, on a peut-être une vision à droite plus proche des gens et plus à l’écoute ».