L’affaire avait ému toute la région de Besançon en octobre 2004 après al nuit d’horreur et d’effroi traversée par une étudiante bisontine violée et battue par un jeune mahorais sur le parking Isembart. Depuis, la jeune femme est paralysée à vie des suites de ses blessures. Jeudi, elle a tenu à témoigné devant les Assises à huis clos complet, c'est-à-dire ssans la présence de l’accusé
La défense ne conteste pas le viol mais récuse l’acte de torture et de barbarie. Kaled Zakaria se pourvoit donc en cassation.