Le chêne et l’hêtre, pourtant plébiscités par les entreprises semblent particulièrement touchés. Il y a dix ans, le mètre cube se négociait aux alentours des 800 francs, désormais son prix tourne autour des 44€.
Maigre consolation malgré tout, les arbres ravagés durant la tempête du Sud-ouest la semaine dernière ne devraient pas venir saturer un marché déjà bien affaiblit. En effet, il s’agit pour la plupart de résineux (pins maritimes) alors que dans les forêts de la région, ce sont essentiellement des feuillus.